Archives
Tous les articles du mois de mars 2009
Enquête judiciaire : Nouvelle réaction d’Elie DOMOTAPublié le 8 mars 2009 (source L’UGTG) Interviewé ce dimanche soir au JT de France 2 par Benoit DUQUESNE, Elie Domota, porte parole du Liyannaj Kont Pwofitasyon (LKP) est revenu sur les propos qui ont servi de prétexte à l’Etat français pour tenter de l’intimider et de discréditer le mouvement ayant cours en guadeloupe : « Ces propos, il ne faut pas les retirer de leur contexte, premièrement. Deuxièmement, ce ne sont pas du tout des propos racistes, mais des propos qui reflètent la réalité sociale, économique, culturelle, historique et sociologique de la Guadeloupe. Nier cet état de fait, aujourd’hui, je crois que c’est faire preuve de racisme à notre égard, nous les Guadeloupéens d’origine africaine et indienne. Je crois qu’il ne faut pas nier que les rapports en Guadeloupe sont construits sur des rapports de classes et de race depuis 400 ans ; et ces rapports persistent. Alors aujourd’hui, s’il faut aller les expliquer devant un tribunal, nous sommes sereins, nos avocats sont saisis de cette affaire là et nous sommes prêts. » | |
| GPG | l’hexadom |
|
UN |
|
| merci placide | GPG |
Un suspect mis en examen pour la mort du syndicaliste Jacques Bino
samedi 28 février 2009
Un suspect de 35 ans s’ est présenté à la police a été mis en examen, pour meurtre et tentative de meurtre et écroué dans le cadre de l’enquête sur la mort du syndicaliste de la CGTG et du LKP Jacques Bino, tué par balle dans la nuit du 17 au 18 février à Pointe-à- Pitre.Il a déjà été condamné à trois reprises pour violences.
*Quatre autres suspects, âgées de 30 à 39 ans, ont également été mis en examen mais laissés en liberté sous contrôle judiciaire.
|
Savoir+ selon le monde et les médias locaux RCi / RFO Le préfet de Guadeloupe appelle à la fin de la grève générale LeMonde.fr avec AFP | 01.03.09 Le préfet de Guadeloupe, Nicolas Desforges a "solennellement" appelé, samedi 28 février, à la fin de la grève générale en Guadeloupe dès lundi, estimant que l’essentiel des revendications du LKP avait été satisfait, et que la poursuite du mouvement serait "autodestructrice". Un appel jugé "tout à fait cavalier et irrespectueux" par le leader du LKP, Elie Domota, qui n’a pas indiqué les suites qu’il entendait y donner. LA BALLE POURRAIT SE TROUVER DANS LE CAMP DU GOUVERNEMENT Mais l’accord sur les salaires est au coeur d’un véritable imbroglio. Le Medef et plusieurs autres organisations patronales majoritaires, représentant notamment le secteur clé du tourisme, refusent toujours de le signer, campant sur leur propre proposition. Les médiateurs du gouvernement, dont la mission s’achève, ont eux-même reconnu samedi "la faiblesse" de cet accord partiel. Faute d’un déblocage du dialogue dans l’île, la balle pourrait se trouver rapidement dans le camp du gouvernement. M. Domota a déjà annoncé son intention de demander au ministère du travail, qui en a la faculté, d’étendre à toutes les entreprises de Guadeloupe l’application de l’accord. Le président du Medef Guadeloupe Willy Angèle a douté dimanche que l’accord soit étendu à toutes les entreprises. "On est encore en République française, ce serait vraiment extraordinaire d’étendre un accord signé par des organisations professionnelles largement minoritaires, dont une ou deux affiliées au LKP". Sans attendre l’appel à la fin de la grève, de plus en plus de commerces lèvent leurs rideaux un peu partout dans l’île. Toutes les stations service sont désormais ouvertes. En Martinique, néanmoins, on fait encore la queue à la pompe. L’annonce d’une réouverture progressive vendredi après-midi a provoqué une ruée dans les stations. Celles-ci devraient toutes êtres opérationnelles mardi. A Fort-de-France, bloquée depuis le 5 février, les négociations ont repris dans l’après-midi. L’accord, qui paraissait jeudi à portée de main, met plus de temps que prévu à se dessiner. |
|
| GPG | L’HEXA-DOM |















