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S@voir + Christian Estrosi : après un bref passage au secrétariat d’état d’outre-mer avait été débarqué , il revient au gouvernement pour liquider La Poste !!!! (source presse) lire …… Le nouveau statut de La Poste, qui devrait devenir dès le 1er janvier 2010 une société anonyme à capitaux publics, fera l’objet d’un débat parlementaire à la rentrée. Ce changement de statut s’accompagnera d’une augmentation de capital à hauteur de 2,7 milliards d’euros, souscrite par l’Etat et la Caisse des Dépôts (CDC). Le ministre de l’Industrie, Christian Estrosi, a confirmé mi-juillet le calendrier: après son examen en Conseil des ministres, le texte sera "déposé au Parlement à la rentrée". Cela "donne à La Poste une année pour bien se préparer, avec son nouveau statut et l’augmentation de capital qui pourra intervenir dans la foulée, à l’ouverture du marché au 1er janvier 2011", avait expliqué le 16 juin Luc Chatel, alors secrétaire d’Etat à l’Industrie. L’objectif est de permettre à La Poste, affectée par la crise et la baisse des volumes transportés, de se moderniser, alors que l’échéance de la libéralisation totale du courrier se rapproche. Le gouvernement a repris l’ensemble des propositions de la commission Ailleret, chargée de plancher sur le développement de La Poste, qui avaient été validées mi-décembre par l’Elysée. Mardi, plusieurs dizaines de postiers d’Ile-de-France, à l’appel de la CGT, FO et Sud-PTT, se sont rassemblés devant Bercy pour rappeler leur opposition au texte qui, selon eux, conduira à terme à la "privatisation". |
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Tous les articles du mois de juillet 2009
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La Poste : Le Parti Socialiste dénonce le fond et la forme Le Parti socialiste dénonce le choix par le gouvernement de présenter le projet de loi visant au changement du statut de la Poste en plein cœur de l’été.Ce changement de statut n’est justifié ni par le financement du développement de l’entreprise et de sa modernisation, ni par une soit disant « règle européenne » qui imposerait cette évolution. Le 9 décembre 2008, la commission Ailleret remettait au Président de la république son rapport sur l’avenir de la Poste, alors même que nombre des participants n’en partageaient ni l’esprit ni les conclusions. Depuis les interpellations publiques se sont multipliées : partis de gauche, syndicats, associations d’élus. La volonté de garantir et de sauvegarder une entreprise publique dont l’utilité sociale et économique est reconnue par un grand nombre de français s’est affirmée. L’avenir de la Poste concerne la nation et le débat ne saurait être confisqué ; le Parti socialiste réitère sa demande de référendum. Il se mobilisera fortement pour soutenir la campagne organisée par le Collectif contre la privatisation de la Poste. Communiqué |
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16/07/2009 – S@voir + David Assouline : Pour que le service public au moins reste un lieu où la diversité et l’indépendance soient garanties et pas celui où on aime d’abord et toujours le Président Sarkozy ! Pour que le service public au moins reste un lieu où la diversité et l’indépendance soient garanties et pas celui où on aime d’abord et toujours le Président Sarkozy ! QUESTION D’ACTUALITE séance publique le jeudi 16 juillet 2009 à 15h Monsieur le Président, mes cher(e)s collègues, Ma question s’adresse, en Frédéric Mitterrand, autant au tout nouveau ministre qu’à l’homme de culture, à l’homme de toutes les cultures, au-delà des disciplines artistiques et des écoles académiques. En conséquence j’attends une réponse sincère et non conventionnelle. Monsieur le ministre, vous qui avez soutenu une grève au CNC en octobre 2001, en tant que président de la commission d’avance sur recettes, comprenez-vous les salariés de RFI qui ont cessé le travail pendant deux mois pour protester contre une brutale restructuration ? Le personnel n’a toujours pas été entendu : six programmes en langue étrangère et 20 % des postes doivent toujours disparaître. Ancien directeur des programmes de TV5 Monde, ce formidable outil de promotion de la francophonie, serez-vous sensible au sort réservé par la majorité à l’AFP, promise à la privatisation ? Vous qui dénonciez, en 1990, dans un geste fort, en direct devant plus de huit millions de téléspectateurs, la paupérisation du service public, laisserez-vous résorber les 50 millions d’euros de déficit qu’aura accumulés France Télévisions en 2010 par la suppression de 500 emplois sur 900 départs en retraite d’ici à 2012 ? Vous qui avez quitté TF1 avec fracas en 1988, en affirmant, avec des mots d’une rare violence -« Ils n’aiment ni les Noirs, ni les Arabes, ni les pédés, ni les gens de gauche, autant dire que je n’avais pas beaucoup d’avenir. »-, pouvez- vous nous assurer qu’aujourd’hui, ministre, vous vous engagez à agir pour que le service public reste un lieu de diversité et d’indépendance et non pas un lieu voué à encenser, d’abord et toujours, le Président Sarkozy ? (Protestations à droite) Allez-vous fermer les yeux devant la véritable catastrophe démocratique que constitue la mise sous tutelle politique de notre télévision et de notre radio publiques et qu’illustre la scandaleuse et complaisante valorisation du Président de la République sur les antennes audiovisuelles les 13 et 14 juillet, alors que l’opposition n’avait pas le droit à la parole ? (Vives apostrophes à droite) Agirez-vous pour garantir la pérennité des éditions locales de France 3, auxquelles les Français sont très attachés, et l’indépendance des rédactions nationales des antennes de France Télévisions |
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