Ce Mardi 10 février , Après analyse du pré-accord approuvé par les protagonistes du conflit en Guadeloupe, F.FILLON le premier “sinistre” a constaté que la note sera salée pour le gouvernement si ce dernier décide de financer le point 133 de la plate forme revendicative du collectif LKP. *Le pré-accord portait sur une augmentation de 200 euros pour les salariés percevant jusqu’à 1,6 fois le smic (4 000 salariés concernés, de source patronale) et de 3 %, à négocier entreprise par entreprise ou dans les branches, pour ceux rémunérés au-dessus de 1,6 fois le smic. Le patronat, qui évalue le coût de ces augmentations salariales à environ 108 millions d’euros, exigeait, pour y faire face, que l’Etat lui accorde des exonérations de charges. C’est pour cela qu’il n’a pas validé le projet des salaires
Oui ! mais voilà, yves Jégo le sous “ministre” chargé de l’Outre-Mer avait reconnu la légitimité des revendications et s’est engagé à donner des réponses concrètes . Maintenant le mal est fait,il va être difficile de faire marche arrière.
*Force est de constater que la mobilisation reste très forte en Guadeloupe et dans la zone Caraïbes : la Martinique et la Guyane s’organisent pour rentrer dans l’action.
*Quand il s’agit d’aider les Antillais le gouvernement n’a pas d’argent,mais Sarkozy trouve des milliards d’euros pour les multinationales.
*En réalité le gouvernement craint de devoir servir les mêmes acquis aux autres DOM.
GPG
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il a dit:
Elie Domota, porte-parole du collectif Lyannaj’ kont’ pwofitasyon (Collectif contre l’exploitation, LKP), déclare dans un entretien au Monde être "toujours sur la même position" : il réclame la signature du "pré-accord proposé par M. Jégo et par le patronat local" dimanche au matin : Dans l’immédiat, M. Domota appelle à "la poursuite de la mobilisation" pour obtenir une "augmentation des salaires en Guadeloupe" :
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